(Cleona) ~ The show must go on, whatever the cost.

Cleona "Mummy" Wheeler

« They say crazy shit and we make it happen. Deal with it. »

Nom : Wheeler Prénom : Cleona ; aussi surnommée "Mummy" Date/lieu de naissance : 16 juin 1992 à Lorwels. Age : Vingt-cinq ans Nationalité/origines : De nationalité anglaise, elle a cependant des origines italiennes par sa mère. D'ailleurs, elle parle couramment l'Italien sur exigence de cette dernière, très fière de ses origines. Statut civil : Célibataire aussi volatile que volage Orientation sexuelle : Hétérosexuelle Métier/études : Si l'on peut appeler ça un "métier", Cleo est un mélange de producer et de show-runner pour quelques Players prometteurs ou déjà connus. Elle s'assure que la mise en scène de leurs défis soit optimale, les renseigne sur le vif sur la manière de les réaliser pour faire le plus de buzz (et de gains), fait le tampon avec les sponsors et les médias ... En somme, elle est un peu comme une maman ou une grande sœur, le souci de leur bien-être en moins. Situation financière : Renflouée Traits de caractères : Sociable - Souriante - Chaleureuse - Manipulatrice - Rusée - Amorale - Déterminée - Bonne vivante - Cynique - Pessimiste - Téméraire Groupe : Watcher Niveau : - Avatar : Lily Collins (avec l'autorisation d'Alvey) Crédits : hello, love - tumblr

Depuis quand es-tu sur NERVE ? Qu'est-ce qui t'a poussé à t'inscrire au jeu ? Si Cleona n'est pas une des pionnières du jeu, elle a tout de même flairé le filon lorsque les rumeurs à propos de celui-ci ont commencé à enfler. Il y a huit mois environ, elle a intégré la communauté des Voyeurs. D'abord prudente, investissant quelques précieux deniers sans trop de conséquences, il ne lui a pas fallu longtemps pour augmenter la mise. Avant de comprendre que ça ne lui suffirait pas. Devenir Joueuse ne lui paraissait pas très intéressant, ou du moins, moins profitable que ce qu'elle avait en tête. Ancienne producer, ces nounous pour fausses stars en devenir, elle a l'art et la manière de créer ou d'exploiter le sensationnel. Manipuler les âmes ? Un vrai métier, pour lequel elle est particulièrement douée et pour lesquelles toutes les armes sont bonnes : des fausses promesses, en passant par la séduction, jusqu'aux mensonges ou demi-vérités. Un panel non exhaustif et adapté à la personnalité de son "protégé". Elle récupère un pourcentage sur leurs gains et travaille en collaboration avec un blogueur à qui elle ramène anecdotes croustillantes ou extraits choisis. Là encore, le pactole augmente et lui permet de renflouer un compte en banque resté bien moribond pendant un bout de temps. Que penses-tu des doutes planant sur le jeu ? Qu'ils sont fondés, très probablement. Pour avoir connu les coulisses des grosses productions et toutes les dérives dont l'être humain est capable, ainsi que pour suivre régulièrement les Joueurs sur le terrain, elle connait les dangers que l'appât du gain et de la célébrité peuvent entraîner. Néanmoins, ce n'est pas ça qui l'arrêtera. Comme beaucoup d'autres, elle profite de ce système aux retentissements mondiaux qui lui permet de faire ce qu'elle fait le mieux et est persuadée qu'elle saura se mettre en retrait si les choses tournent mal.

Pseudo : Lady Furiosa Âge : Légèrement trop vieille pour ces bêtises    Fréquence de connexion : Connexion tous les jours, mais rp le weekend Avis sur le forum Enfin un peu d'originalité    Comment l'avez-vous connu : D'abord par hasard, puis poussée par une gentille membre via une recherche facebook à trouver mon bonheur par ici   Autre chose :  

Mummy loves you so much.

« Are you watcher or player are you watcher or play... Like both, deary. »

Seize juin dix-neuf cent quatre-vingt douze. Naissance de Cleona Rachel Wheeler, benjamine d'une fratrie comptant déjà quatre enfants. Évènement quasi-banal dans cette famille italo-anglaise où les femmes pondaient comme d'autres referaient leur brushing. Enfance toute aussi ordinaire, par ailleurs.

Mrs Wheeler était femme au foyer, entièrement dévouée à son immense et braillarde progéniture, une main vers la marmite, l'autre vers une couche pleine ou un sac à dos disparut par enchantement enfantin - la plus basique des magies dont seuls les bambins sont capables. Main de fer dans un gant de velours, il n'en fallait pas moins pour compenser la présence très fantomatique de Mr Wheeler. D'après les dires de sa chère Mère-Grand moitié sénile, moitié mythomane, paraissait-il qu'ils descendaient d'une ancienne famille noble dont l'un des membres aurait perdu fortune et patrimoine suite à un mariage mal arrangé - comprendre qu'il devait avoir un problème de prostituées et de jeu, voire une incompétence crasse en affaires. Dires datant d'une ère pré-révolution industrielle, Cleona se permettait gentiment d'en douter, sauf pour la partie incompétence, au regard de l'incapacité flagrante de son pauvre père à garder un travail. Mr Wheeler était un homme gentil, très déférent et impliqué, malheureusement, c'était aussi un idéaliste. Au lieu de se contenter de prendre un bon vieux job tranquille qui permettrait de nourrir sa grande famille, il ne pouvait s'empêcher de se laisser embarquer dans des projets fous d'amis d'amis, le plus souvent après quelques pintes de bière. Quand le projet ne mourrait pas dans l'oeuf, l'entreprise déposait le bilan dans l'année et Mr Wheeler était reparti à la chasse à la subsistance. Autant dire que les fins de mois à base de pâtes, de riz et de conserves étaient récurrentes.

Dès son plus jeune âge, Cleona comprit qu'il était hors de question qu'elle termine comme ses parents, quel que fut l'amour inconditionnel qu'elle leur porta. Entre deux bagarres avec ses frères aînés et deux disputes avec ses soeurs, elle s'attachait à être une élève studieuse. Possédant peu de facilités, elle travailla dur pour caracoler en tête du podium de ses classes successives. Si elle voulait bien vivre, il lui fallait un bon boulot. Pour avoir un bon boulot, il fallait qu'elle fasse des études. Et pour faire des études, il lui faudrait une bourse. Causes à effets. A dix-sept ans et avec un an d'avance, elle partait pour Londres, loin de l'ambiance jovialement bruyante de Lorwels pour une autre toute aussi envahissante, mais beaucoup moins chaleureuse. Là-bas, elle y découvrit essentiellement les quartiers underground, les groupes de rock du même acabit, les relations passionnelles et éphémères, ainsi que certaines substances dont elle aime toujours bien se divertir. Légèrement grisée par cette soudaine liberté, elle manqua de peu de rater sa première année, avant de se rappeler l'objectif de sa vie. Il n'aurait pas s'agit d'oublier qu'elle n'avait aucune envie de finir mariée avec trois mômes ou plus, à épaissir de la brioche pendant que son cher et tendre ramènerait trois schillings et deux pennies.

Elle terminait sa licence en management audiovisuel avec option sociologie comportementale lorsqu'elle rencontra une sorte de précurseur des hipsters. Jobby - ou Jobba ? - comme il aimait qu'on l'appelle, petit journaleux pour un canard local, lui expliqua qu'il revenait de cinq ans aux grands Etats-Unis d'Amérique et à quel point il en avait été dégouté de la société de consommation individualiste créant des sheeps cheeps seulement avides de gloire et de gros sous. Et bla et bla fut l'essentiel de ce qu'elle retint de son discours faussement engagé, mais pas que. L'oeil et surtout l'oreille perpétuellement à l'affut, la jeune femme alpagua bien vite l'origine de son mal. Outre un désordre narcissique évident, Jobbo avait travaillé comme "producer" à Hollywood en personne. Grossièrement, ses journées avaient consisté à répondre aux caprices de fausses stars en devenir, généralement des jolies minettes persuadée que leur bachelor allait devenir l'homme de leur vie. Fausses réponses à faux problèmes, il avait surtout pour tâche de créer ces derniers et d'apporter sur petit écran le montage de crises d'hystérie, de dérapages dans la piscine ... Bref, de faire ressortir le pire pour engendrer le meilleur. Sentant Jobbu un brin nostalgique de cette ancienne vie dont il se disait révulsé, Cleona ne se priva pas de lui faire lâcher le morceau. Enfin, surtout un nom et un numéro.

Un mois plus tard, à peine licenciée de l'université et alors que l'encre de son diplôme séchait tout juste, elle s'envolait pour Los Angeles. A défaut d'une jolie plaque sur un bureau, elle avait décroché un stage pour l'entreprise de production "Happily Ever After" où Jojo avait fait son bout de chemin qui avait finir en cul-de-sac. Six mois passés à apporter des cafés et à observer tout ce qui l'entourait sur les différents tournages de ces conneries en boite à tubes cathodiques, une chance se présenta enfin. Une des prétendantes avait élu domicile dans les toilettes depuis plus de deux heures. Le jour baissait et si cette gourde ne sortait pas de là, ils étaient bons pour différer le tournage au lendemain, soit une perte non négligeable pour la production déjà avare du show. Ce genre de situation était monnaie-courante et d'ordinaire, les producers savaient parfaitement quel talon d'Achille titiller pour que la chieuse du moment revienne à la raison. Sauf que l'hystérique en question était plus bornée qu'un âne, en plus d'être beaucoup trop riche et fille à papa pour s'en laisser compter. Erreur de casting.

Quand chacun s'y fut épuisé, executive compris, Cleona tenta le tout pour le tout. Elle avait lu en cachette dans son dossier que Barbie avait un faible pour les noix de cajou et le thé noir très fort. Durant une dispersion momentanée, elle se fraya un chemin jusqu'aux toilettes, lui apporta les denrées tout droit sorties de la cuisse de Jupiter   - enfin du casier des producers, mais c'était tout comme - et démarra une conversation, laquelle, à défaut d'être bien inspirée, apparut vite inspirante. Pour Barbie-Barjot, tout du moins. Autre élément de son profil : Barbie avait débuté des études d'enseignante dans le dos de son père à l'âge rebelle de dix-huit ans. Papa lui avait vite rappelé quel était son devoir et le prestige de sa famille, alors forcément, ses ambitions avaient fondu comme neige au soleil. Dans sa grande innocence, Cleo lui rappela qu'une telle exposition médiatique, que le gars en costard là-bas la choisisse ou pas, lui permettrait d'amasser suffisamment d'oseille pour s'émanciper définitivement et qu'il aurait été dommage de ternir son image de cette façon. Ainsi que d'autres arguments peu profonds mais auxquels sa proie fut sensible. Enfin, elle disait ça comme ça, pour parler ... Après un silence, la porte s'ouvrit. Et ce fut le début de la gloire.

Ainsi remarqué par l'executive producer principale, amusée par son culot et son nez de requin flairant le potentiel, elle lui attribua la place de producer junior qui venait de se libérer - erreur de casting, on vous l'a dit. A tout juste vingt et un ans et quelques mois, Cleona Wheeler venait de décrocher une place au soleil. Enfin, dans l'ombre, sans gloire ni prestige, mais pleine d'adrénaline. Ainsi en fut-il les trois années qui suivirent. Bientôt producer efficace, déjà surnommée "Mummy" pour la façon feinte dont elle choyait ses "filles" tout en provoquant drames, scènes chocs et autres débilités dont la production, ainsi que le public, étaient friands, elle mit du temps à comprendre dans quelle incroyable galère elle s'était embarquée. Il lui arrivait de passer quarante-huit heures sans fermer l'oeil, faisant passer le manque de sommeil à coups de red-bull, de cigarettes ou autres petites pilules. Ajoutons à cela un stress quotidien, une pression perpétuelle, une vie de sans domicile fixe et autres excès, ni le corps ni l'esprit ne purent suivre.

Les souvenirs sont vagues. Une légère sensation d'oppression, des murmures de cris - les siens, apparemment - et quelques cicatrices pour seuls témoins de son débordement. Ou "burn-out" tel que les médecins le nommèrent quand elle atterrit en unité psychiatrique pour deux - longues - semaines. Autant dire qu'à sa sortie de la clinique, Biddy, la producer, ne voulait plus entendre parler d'elle. Elle avait tout de même pété la baie vitrée de la villa à coups de chaise et envoyé une Mazzeratti flambant neuve dans la piscine ... Nouvelle qui ne la surprit pas, pas plus que l'état de son compte en banque quand elle tenta de retirer du liquide. Heureux hasard, il lui restait juste de quoi payer son billet de retour pour l'Angleterre. Sans un sou ni plus de perspective d'avenir grâce au black-listage efficace de Biddy, voilà qui tombait à point nommé.

Back to Lowerls. Quelle tristesse. Ses parents l’accueillirent à bras ouverts, la laissant à sa dépression dans sa chambre d'enfant tout en essayant de la gaver de sages paroles ou de penne a l'arrabiata. Curieux mélange. L'idée lui traversa l'esprit d'en finir une bonne fois pour toutes avec une bonne dose de bromazépan ou d'une bonne chute du clocher du quartier - peut-être un brin théâtral pour le dernier. C'était juste avant la sortie de NERVE. Et NERVE fit disparaître toute perspective de suicide saugrenue. Au début, elle ne s'y intéressa pas vraiment. Cependant, plus la rumeur enflait, plus son intérêt fut avivé, au point presque, de l'obséder. Devenir Joueuse ne l'intéresserait pas, Voyeuse, en revanche ... Et si elle pouvait faire davantage, encore ? Ses premiers gains lui avaient permis de prendre son propre appartement et elle voulait plus. Encore plus. Les coups de sang et de nerfs lui manquaient. L'ambivalence du terrain aussi. Mettre des bâtons dans les roues quand on pouvait mettre en laisse le cocher, quel intérêt ?

Un petit réseau déjà constitué, elle n'eut pas grand mal à trouver son premier protégé. Le joueur débutant ne tarda pas à grimper de niveaux, en partie grâce à elle et à ses précieux conseils en matière de mise en scène, de réactivité ou d'attitude. Et puisqu'elle en retirait vingt pourcents, autant dire qu'elle aussi s'en sortait bien. Autre brillante idée, elle fit la connaissance d'un blogueur en recherche de sensationnel et de bonne infos. S'associer avec lui lui rapporta un revenu supplémentaire et un lot d'adrénaline comme elle les aimait.

Elle ignore si NERVE tiendra encore longtemps, ce qui se cache derrière cette tendance mondiale, ce que cela explique vraiment. Seulement, elle n'en a pas grand-chose à faire. Si Mummy a bien compris une chose avec le temps, c'est que quoi qu'il arrive, elle s'en sortira toujours. Quitte à y laisser quelques plumes, mieux vaut vivre à fond qu'attendre que la mort vienne vous prendre.

Bienvenue
Et je dois dire que j'aime beaucoup ton choix d'avatar

C'est vrai que Lily est un super choix Bienvenue!

Officiellement bienvenue

Oh lala, Lady Furiosa que je vois passer partout sur Bazzart. Bienvenue parmi nous, bon courage pour terminer ta fiche de présentation et n'hésite pas si tu as des questions

Everly & Cameron Merci ! Je dois avouer que les vôtres ne sont pas mal non plus

Alvey Encore merci à toi

Liesel GOD JE SUIS GRILLEE Tu dois me voir poster dans les libre-services de codes, je suppose, parce que je ne suis pas une grande active sur bazz au-delà de ça
Merci, je n'hésiterai pas au besoin

Bienvenue belle demoiselle

Merci Rohan

Félicitations

Très belle présentation, avec une plume incroyable qui n'est pas sans me rappeler la fantastique série UNReal.   Il nous faudra absolument un lien !

C'est donc avec impatience que j'ai hâte de voir ton personnage évoluer en RP. Il est ultra important de remplir correctement ton profil pour que NERVE te donne des défis. Tu peux dès maintenant aller poster ta fiche de liens ici et ouvrir ton compte NERVE ici si c'est nécessaire. Si tu as des besoins particuliers, tu peux aussi poster des scénarios ou des préliens ici afin de trouver des petits camarades de jeu ainsi que demander un poste, un logement par ici. J'espère que tu passeras un bon moment parmi nous et n'hésite pas à nous contacter si tu as un souci   Nous avons aussi le plaisir de te dire que la première intrigue a été postée et tu peux dès à présent y prendre part en allant la lire ici. Si tu as du mal à te retrouver sur le forum, voici la liste des liens à visiter qui pourra t'aider.